A la traîne…
Un moment onirique d’une femme vêtue d’une robe de mariée, une femme fœtale, perdant ses pétales, perdant les pédales.
Femme fragile, semblant chercher sa moitié.
C’est un travail sur le corps mystère, le corps coupé en deux, un personnage sans tête, un puzzle décomposé, et les effets de la blanche de dentelle allant d’une femme fantôme, à une religieuse, tout en passant par un semblant de méduse.
Travail mêlant équilibres et contorsions, un soupçon de langue des signes, et pas mal de mouvements.
Besoins techniques :
un sol plat lisse et à niveau de 4×4 mètres
Une ambiance lumière froide (Gélatines bleues et blanches) et intimiste.
La bande son est composée par Clément Roussillat, disponible sur clé.