Le complexe du minuscule
Petite forme abordant toute la difficulté à assumer sa place, et sa propre existence en ce monde.
C’est l’histoire d’une femme instable, blessée, qui une fois sur les mains, retrouve un certain calme.
Elle s’entoure d’amies fictives, preuve de sa douce folie, elle cherche sa place, telle une seconde chance, tout en essayant d’en prendre le moins possible.
Et tout en y laissant une jolie trace…
Un pseudo imbroglio existenciel.
C’est un moment-spectacle mêlant équilibres sur les mains, contorsions et une gestuelle fortement, inspirée de la langue des signes française, et très imprégnée de mouvements désarticulés, angulaires, précis, fluides, coulés, distordus et de manière arachnide.
Ce travail a commencé en 2009 sous le regard chorégraphique et ami de Tao Maury.
(CRAC de Lomme) a fait sa route dans divers lieux, au Prato, au festival Visueel et au festival Up à Bruxelles, puis jusqu’au Mim’off en 2016, et se développe ici.
Spectacle corrigé par Emmanuelle Laborit, à l’IVT, accueilli chez les Croqueurs de Pavés et soutenu par Adrienne Larue, et son chapiteau à Ris-Orangis.
La bande son est de Clément Roussillat.